Qui sommes nous?

L'Équipe Olympe prend le départ du Grand défi Pierre Lavoie depuis la toute première édition de l'événement, en 2009. Seront au départ cette année, à Saguenay le jeudi 12 juin: Pierre Audet, président d'Olympe, Guy Ménard, vice-président, Denise Delaunière, enseignante au primaire (connue des lecteurs du blogue comme "Madame Ménard"), Sébastien L'Écuyer, kinésiologue chez Olympe et Danny Morin, directeur du développement des affaires.

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14 juin 2013

Du vent, des kilomètres et un cas d'éco-terrorisme

Vendredi, 14h00, quelques nouvelles en vrac. D'abord c'est sous un soleil radieux (comme d'habitude, vous confirment les vétérans du Défi) que s'est donnée le départ, ce matin, 8h00. Une sympathique étape d'une vingtaine de kilomètres entre La Baie et Chicoutimi, avec tous les cyclistes, question pour tout le monde de se mettre en jambe. Comme convenu, c'est en compagnie de nos "cousins" de la Commission scolaire Marie-Victorin que nous avons roulé le premier tronçon. Émus et heureux qu'ils étaient les CSMV.

Arrivée à l'Université du Québec à Chicoutimi sous les vivats d'un imposant contingent de bleuets, déclinés dans tous les âges et tous les formats. Rapide manoeuvre pour embarquer trois cyclistes, Danny, Pierre et moi, pendant que Sébastien et Denise continuaient vers Larouche. Une étape très venteuse, plus difficile que prévu. C'est comme ça, parfois le vent vient transformer une étape réputée facile en un morceau de bravoure.

Arrivée à Larouche, Danny et Pierre ont pris la route vers le Lac-Bouchette. Ils sont toujours sur la route et nous aussi d'ailleurs. Des travaux de construction sur les routes du Saguenay-Lac-St-Jean rendent la circulation plutôt laborieuse, faisant passer le centre-ville de Desbiens pour le Pont Champlain à l'heure de pointe.

Tous vos Olympiens se portent bien malgré le tyrannisme exercé par Denise dans le VR. Cette année, des équipes ont été sélectionnées pour une première tentative de gestion éco-responsable de déchets que nous générons. Nous faisons partie du nombre, Mme Ménard s'est auto-proclamée gérante du dossier et nous vivons depuis ce temps dans la terreur d'égarer dans la poubelle une matière recyclable. Elle prend tellement son rôle à coeur que nous ne savons pas où cela s'arrêtera: gonfler les pneus à l'air de seconde main? Huiler les chaînes avec de l'huile de patates frites? Se gosser des roues en bouleau?

Sous le règne éco-terroriste de Mme Ménard, aucune mesure extrémiste ne peut être écartée!

Je vous reviens dès que possible (et si c'est possible dans des conditions de développement durable...)

Guy Ménard


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